VOIX INCONNUE: C'était moi! Et je viens récupérer mon argent ou mettre ma menace à exécution.
JOHN: Elle!
GEORGE: Shocking!
PAUL: Toi!
RINGO: Eleanor Rigby! Mon ex-amour!
GIGI: *Comment ça mon amour? Sale garce!*
HELL: Gigi a raison! Expliquez-vous!
RINGO: Elle est mon ex-copine... C'est parce que je la connaissais qu'ils m'ont pris quand Pete Best a été laissé de côté.
GIGI: *Ex-copine? J'ai encore ma chance!*
RINGO: ...mais maintenant j'ai rencontré Maureen et je veux faire ma vie avec elle.
GIGI: *Je la hais elle aussi!*
RIGBY: Oui. Et non seulement les Beatles m'ont laissé tomber, mais toi aussi! Je suis abandonnée de tous!
RINGP: Voyons, let it be, il ne faut pas s'en faire avec ça.
PAUL *let it be, tiens, ça ferait une excellente chanson ça*
RIGBY: Nous allions nous marier! Nous allions avoir des enfants, du succès, une ferme dans le Devonshire, une voiture flambant neuve! Mais tu m'as laissée seule! Tout ceci m'est arraché, maintenant je devrais me contenter d'une vie de vendeuse au rayon des poches de thé chez Harrod's!
GEORGE: Oui mais c'est bon le thé. Un jour, j'irai visiter les Indes pour voir les plantations de thé.
RIGBY: C'est peut-être bon, mais ce n'est pas ça qui va assurer mes vieux jours! Je veux ma part!
PAUL: C'est hors de question. Tu n'étais qu'une remplaçante à quelques reprises. Tu n'es pas une Beatles, tu ne le seras jamais.
RIGBY: C'est ce que tu penses mon beau... mais tu oublies que j'ai un argument de taille avec moi!
JOHN: Et quel est-il?
RIGBY: La pièce dans laquelle nous somme est bardée d'explosifs. Si vous n'acquiescez pas à mes demandes, tout explose, et il n'y aura plus de Beatles.
HAYDE: Diantre.
HELL: Du calme, Hayde, ne perdez pas votre self-control.
HAYDE: Vous avez raison monsieur, mes excuses monsieur.
RIGBY: Et qui sont-ils ces deux-là?
HELL: Je suis Jack Hell, héros invétéré. Et ceci est mon fidèle associé, monsieur Hayde.
RIGBY: Ah je me disais aussi que je vous avais déjà vu au rayon du thé chez Harrod's. Earl Gray si je ne m'abuse.
HAYDE: C'est juste, madame.
RIGBY: C'est ça qui est triste, je suis une excellente vendeuse de thé.
HELL: Je m'en rends bien compte. Mais quel est le lien entre vous et l'organisation de Jacques Émeraude?
RIGBY: C'est moi qui a convaincu Jacques d'enlever le groupe et lui faisant croire qu'ils allaient faire de la concurrence à ses protégés. Il pensait veiller à ses intérêts, mais dans le fond en les conduisant ici, il les a conduit dans mes mains sans que je doive faire quoique ce soit d'autre. Et j'ai ensuite liquidé ce piètre criminel!
HELL: Ah, voilà qui explique le cadavre dans le coin là-bas.
RIGBY: Vous avez tout compris. Et maintenant, messieurs, il est temps de faire un contrat. Je veux ma part sur tous vos disques, spectacles de cirque, produits dérivés et autres films.
PAUL: Jamais! J'aurai besoin de tout cet argent pour aller bien paraître sur une banquise au Canada.
HELL: Le Canada? Je suis originaire de là-bas.
PAUL: Je sais, puisque c'est moi qui vous a demandé de l'aide.
HELL: C'est juste.
HAYDE: Monsieur, puis-je?
HELL: Bien sûr.
RIGBY: Oh non vous ne pouvez pas. Je vous connais Hayde. Et au moindre coup de savate, les explosifs seront détonnés!
HAYDE: Voilà qui est déplorable, madame.
RIGBY: Que voulez-vous, votre réputation vous précèdeAAAAARGH!
GIGI: *voilà qui t'apprendra, vilaine qui ose menacer mon Ringo favori! une bonne mordée de jugulaire, c'est tout ce que tu mérites*
HELL: Gigi, quelle as tu es! Pas une sangsue ne sait arriver aussi subrepticement que ça!
JOHN: Vous avez un excellent vocabulaire monsieur Hell.
HELL: C'est l'oeuvre d'une excellente éducation. Mais je crois que Rigby a son compte.
RINGO: Et que fera-t-on d'elle?
GEORGE: Je connais un prêtre en Angleterre, le père McKenzie... il saura s'occuper d'elle et la remettre dans le droit chemin. Elle ne parlera pas.
JOHN: D'ailleurs toute cette histoire devra demeurer secrète à jamais.
HELL: Nous garderons le silence de notre côté, ne vous en faites pas.
HAYDE: Personne ne croirait ça de toute façon, messieurs.
PAUL: Peut-être qu'un jour j'écrirai une chanson à son sujet, mais en disant que ça a été inspiré par d'autre chose...
RINGO: Ça pourrait être drôle.
JOHN: Mais en attendant en hommage à votre aide, nous allons vous dédier une chanson. Ça va se nommer Help! Évidememnt on ne peut pas la sortir tout de suite, mais d'ici un an ou deux, vous verrez ça... ça va être un grand succès.
HELL: Merci, merci. Et si jamais vous passez en Abitibi, venez faire un tour.
RINGO: Nous n'y manquerons pas. Merci Gigi. Je te dois la vie...
HELL: Bon, on a pas fini d'en entendre parler...
31 mai 2009
18 mai 2009
Les Étoiles Mystérieuses (chapitre 9)
HELL: Bon, enfin on vous retrouve! Êtes-vous sûrs d'être les vrais vrais Beatles cette fois-ci? Pas des copies, clones, statues de cire, jumeaux, réincarnations de Jésus-Christ et j'en passe?
JOHN: Ne nous comparez pas à ce Jésus, nous sommes en voie d'être plus populaire que lui!
GIGI: *Tant d'arrogance et d'élégance, ce ne peut être que le vrai John Lennon! Waaaaaaaa, John! Prends-moi toute entière!!!!!*
JOHN: Je voudrais bien Gigi mais Cynthia, ma femme, ne veut pas.
Sur ce, Gigi, telle une panthère jalouse et hystérique sauta au visage de John dans l'espoir de le griffer... quelques instant plus tard, elle se rendit compte qu'elle était en train de se couvrir de ridicule puisque bien sûr, comme toutes les sangsues, elle n'a pas de griffes.
PAUL: Ah ces groupies, toutes les mêmes...
HELL: Maintenant que nous vous avons trouvé, sortons vite de l'Empire State Building avant que les sbires de Jacques Émeraude ne nous retrouvent. Hayde, permission de savater tout ce qui se met dans notre chemin.
HAYDE: Avec plaisir, Monsieur.
S'en suivi une course folle durant laquelle Hayde assomma moults sbires, vendeurs de hot-dogs, grand-mères épileptiques et autres obstacles qui eurent le culot de se placer en travers de leur chemin. Retournés à l'hôtel des Beatles, ceux-ci purent enfin faire le point avec Hell et Hayde pendant que Gigi continuait de baver et suinter d'envie dans son bocal.
HELL: Chers Beatles, maintenant que nous sommes en sécurité, du moins jusqu'à la fin de ce chapitre, pouvez-vous nous dire pourquoi vous m'avez appelé et pourquoi on cherche à nous assassiner collectivement depuis le début de cette aventure? Est-ce que ça a un lien avec le groupe britannique prometteur que produit Jacques Émeraude?
PAUL: Les Rolling Stones? Faites-nous rire! Ce sont nos amis. Moi et John avons même écrit la face B de leur premier single sorti l'an dernier. Non, c'est vraiment à cause de cette note que nous avons reçu à la sortie du plateau du Ed Sullivan Show. Jacques Émeraude, en bon truand qu'il est, a dû être payé par celui qui se déclare comme étant le 5e Beatles.
HAYDE: Vous croyez, Monsieur? Ne pourrais-ce pas plutôt être une fabulation de Monsieur Émeraude pour vous ébranler?
GEORGES: Malheureusement pas. Il y a vraiment un pan caché de notre existence que nous devons vous révéler.
RINGO: En effet... lors de nos premières tournées à Hambourg, dans le temps où Stu était encore avec les Beatles (et moi pas, paradoxalement), il lui arrivait souvent de jouer le dos tourné au public. On disait que c'était parce qu'il était timide et qu'il jouait mal de la basse mais c'était faux. En fait, il était tellement tout le temps gelé ou en train de baiser qu'on avait une doublure pour lui. Quant Stu a décidé de rester à Hambourg, on a décidé de laisser tomber la doublure puisqu'elle nous était inutile. Mais lorsqu'on lui a annoncé la nouvelle dans son living room, elle a voulu rester, a argumenté pui la dispute a dégénérée et George l'a frappée avec un chandelier, la laissant pour morte.
HELL: Mais qui était cette doublure? Et pourquoi en parlez-vous au féminin?
VOIX INCONNUE: C'était moi! Et je viens récupérer mon argent ou mettre ma menace à exécution.
JOHN: Ne nous comparez pas à ce Jésus, nous sommes en voie d'être plus populaire que lui!
GIGI: *Tant d'arrogance et d'élégance, ce ne peut être que le vrai John Lennon! Waaaaaaaa, John! Prends-moi toute entière!!!!!*
JOHN: Je voudrais bien Gigi mais Cynthia, ma femme, ne veut pas.
Sur ce, Gigi, telle une panthère jalouse et hystérique sauta au visage de John dans l'espoir de le griffer... quelques instant plus tard, elle se rendit compte qu'elle était en train de se couvrir de ridicule puisque bien sûr, comme toutes les sangsues, elle n'a pas de griffes.
PAUL: Ah ces groupies, toutes les mêmes...
HELL: Maintenant que nous vous avons trouvé, sortons vite de l'Empire State Building avant que les sbires de Jacques Émeraude ne nous retrouvent. Hayde, permission de savater tout ce qui se met dans notre chemin.
HAYDE: Avec plaisir, Monsieur.
S'en suivi une course folle durant laquelle Hayde assomma moults sbires, vendeurs de hot-dogs, grand-mères épileptiques et autres obstacles qui eurent le culot de se placer en travers de leur chemin. Retournés à l'hôtel des Beatles, ceux-ci purent enfin faire le point avec Hell et Hayde pendant que Gigi continuait de baver et suinter d'envie dans son bocal.
HELL: Chers Beatles, maintenant que nous sommes en sécurité, du moins jusqu'à la fin de ce chapitre, pouvez-vous nous dire pourquoi vous m'avez appelé et pourquoi on cherche à nous assassiner collectivement depuis le début de cette aventure? Est-ce que ça a un lien avec le groupe britannique prometteur que produit Jacques Émeraude?
PAUL: Les Rolling Stones? Faites-nous rire! Ce sont nos amis. Moi et John avons même écrit la face B de leur premier single sorti l'an dernier. Non, c'est vraiment à cause de cette note que nous avons reçu à la sortie du plateau du Ed Sullivan Show. Jacques Émeraude, en bon truand qu'il est, a dû être payé par celui qui se déclare comme étant le 5e Beatles.
HAYDE: Vous croyez, Monsieur? Ne pourrais-ce pas plutôt être une fabulation de Monsieur Émeraude pour vous ébranler?
GEORGES: Malheureusement pas. Il y a vraiment un pan caché de notre existence que nous devons vous révéler.
RINGO: En effet... lors de nos premières tournées à Hambourg, dans le temps où Stu était encore avec les Beatles (et moi pas, paradoxalement), il lui arrivait souvent de jouer le dos tourné au public. On disait que c'était parce qu'il était timide et qu'il jouait mal de la basse mais c'était faux. En fait, il était tellement tout le temps gelé ou en train de baiser qu'on avait une doublure pour lui. Quant Stu a décidé de rester à Hambourg, on a décidé de laisser tomber la doublure puisqu'elle nous était inutile. Mais lorsqu'on lui a annoncé la nouvelle dans son living room, elle a voulu rester, a argumenté pui la dispute a dégénérée et George l'a frappée avec un chandelier, la laissant pour morte.
HELL: Mais qui était cette doublure? Et pourquoi en parlez-vous au féminin?
VOIX INCONNUE: C'était moi! Et je viens récupérer mon argent ou mettre ma menace à exécution.
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