KNACKWURST: Je n'ai rien à faire de cette anguille. Elle a rempli son rôle... celui de vous attirer ici!
HELL: Vous voulez dire que toute cette visite en apparence inopinée que nous effectuions moi, ce brave Hayde et notre adorable Gigi...
GIGI: C'est vrai que je suis adorable. Ma maman me le disait tout le temps. Je me rappelle encore son regard plein de tendresse quand j'enlaçais affectueusement les mollets des touristes égarés à St-Edmond-les-Plaines... Souvenirs, souvenirs...
HELL: Adorable mais vraiment malpolie qui prend un malin plaisir à couper les gens quand ils parlent avec des anecdotes sans intérêt Gigi, disais-je donc, à l'Université de Waseda puis la cavalcade de rencontre avec l'inspecteur Wagakuto et feu son collègue Tomoyama et cette folle poursuite jusqu'au département de biologie était une mise-en-scène dont le but avoué était simplement de nous parler de vos états d'âme. Vous ne connaissez pas cette brillante invention qu'est le téléphone Von Knackwurst?
KNACKWURST: Ach! Je ne veux pas vous parler de mes états d'âme Hell! Je veux vous convaincre d'adhérer à mon plan d'éradication de la race japonaise.
NINJA: Vous voulez donc tous nous tuer? Pourquoi nous vous suivrions pour éliminer nos frères? Nous aurions dû nous méfier de vous, sale traitre Allemand. Achevons-le!!!
HELL: Un instant! Personne ne mourra ici! Nous sommes tous des grandes personnes civilisées et nous sommes capables de régler nos différents. Qui plus est, si j'ai tout bien compris, il y a un complot qui se trame en coulisse et qui pourrait avoir des répercussions sur la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques.
NINJA: Bien que nous sommes en nombre supérieur et que nous pourrions vous découper en rondelles, vos paroles semblent sages Hell san. Sauf sur le point où vous oubliez que nous travaillons pour les comploteurs.
HELL: Or pouvez-vous vraiment vous fier à ceux-ci. Ils pourraient avoir des intentions aussi belliqueuses que celles de Von Knackwurst à votre endroit.
NINJA: Cela m'étonnerait puisque Knackwurst n'est qu'un pion dans l'échiquier des grands maitres.
KNACKWURST: Comment ça un pion?!?
HELL: Silence! on parle ici! Tokugawa, emmenez ce sinistre individu. Reprenons: Qui sontces grands maitres?
NINJA: Il vous faudra vaincre notre champion en duel pour mériter notre confiance, Hell san.
HELL: D'accord. Proposez les conditions, je propose le choix des armes.
NINJA: Si vous gagnez, nous vous aiderons. Sinon, vous serez mort et vos amis aussi.
HELL: Parfait. Je choisi un combat à l'épée et, pour agrémenter ce combat, je ferais à l'improvisade une petite ballade. Une comptine plutôt pour parodier Cyrano (tiens, est-ce un alexandrin? oui oui, c'est un alexandrin).
S'ensuit un combat épique, curieux mélange de style oriental et occidental où les attaques, les parades et les contres de sixte s'enchainent et l'où entends en background Jack Hell et sa comptine:
"Le Ninja gigote, le ninja barbote, le ninja veut m'faire des trous
Du fond de la salle, il me lance un voile pour que je n'vois rien du tout
Privé de lumière, je pars en arrière puis je pare son dernier coup
Je feinte en quarte, il déplace sa lame puis je lui explose le genou
Il s'écroule par terre, pleure en désespoir puis veut se remettre debout
Avec sa pointe, il vise l'abdomen puis tente le tout pour le tout
J'esquive l'attaque, risposte en quarte et puis je le tiens en joue
Il capitule, la foule m'adule et les méchants ont l'air fou"
NINJA: Hell san, tu as gagné à la loyale. Voici donc notre plan...
29 décembre 2009
22 octobre 2009
Nukes en Stock, épisode trois
HAYDE: Frank Von Knackwurst!
HELL: Comment Hayde, vous connaissez cet individu aux allures louches?
HAYDE: Oui, monsieur. Vous n'êtes pas sans ignorer que pendant la Deuxième Guerre Mondiale, j'ai servi avec les forces du Marquis de Greenbellsworthydingle, monsieur.
HELL: Certes. Si je ne m'abuse, votre bataillon a participé à la libération de Villons-les-Buissons.
HAYDE: Vos compatriotes des North Nova Scotia Highlanders ont fait le gros du travail monsieur. Mon bataillon et moi n'étions qu'à la bonne place au bon moment.
HELL: Vous êtes trop humble, Hayde. Mais quel est le rapport avec ce dénommé Frank Von Bratwurst?
KNACKWURST: KNACKWURST!
HAYDE: L'obersturmführer Frank Von Knackwurst commandait les forces allemandes du village. Lors des opérations pour reprendre la ville, lui et moi nous nous sommes fait face en combat singulier, monsieur. Sabres au clair, clairon à la taille.
HELL: Au sabre? Je savais les troupes du Marquis de Greenbellsworthydingle traditionnalistes, mais à ce point?
HAYDE: Le Marquis était un gentleman, monsieur. Ainsi, je faisais face à Frank Von Knackwurst lorsqu'une portion d'une maison près de moi s'est écroulée, entraînant avec elle une jeune famille terrifiée. Je jetai un bref regard, et ce fut assez pour que Frank Von Knackwurst prenne la fuite. J'aurais pu le poursuivre, mais j'ai préféré aider les habitants locaux en détresse. Nous n'avons eu ensuite que des informations sporadiques sur Frank Von Knackwurst provenant toujours de fronts plus orientaux. Certains officiers disaient qu'il allait se retrouver au Japon... ils n'avaient pas tort on dirait.
GIGI: *Je n'aime pas les allemands. Ils ont mauvais goût. Ils ne sont pas sucrés commes les canadiens élevés à l'eau d'érable*
HELL: Gigi! Ces sentiments racistes ne t'honorent pas.
GIGI: *M'en fiche! Il menace ma cousine!*
HELL: Que nous voulez-vous, Knackwurst, et que voulez-vous à ce poisson téléostéen serpentiforme?
KNACKWURST: Je veux me venger!
HELL: Ce sentiment ne vous honore pas plus que ceux de Gigi tantôt!
KNACKWURST: Vous ne me comprenez pas! Personne ne peut me comprendre! Quand le Reich s'est effondré, mon monde a pris fin! J'étais respecté, j'étais craint au village... depuis, je suis devenu un paria! Je suis traqué, je ne suis plus rien! Et tout ça... à cause des japonais!
HELL: Qu'ont-ils à voir là dedans?
KNACKWURST: Ils ont mal livré la guerre! Ils étaient médiocres commes alliés! Ils n'ont pas attaqué la Russie, ils n'ont pas assez attiré de ressources américaines dans le Pacifique pour diminuer la pression sur l'Europe! À cause d'eux, les américains et les britanniques ont débarqué en Normandie, et on connaît la suite de l'histoire. Si nos alliés du Pacifique s'étaient mieux battus, le Reich dominerait le monde! Je me vengerai sur eux, ils vont me le payer!
GIGI: *Dominer le monde! Jamais! St-Thomas Dydime ne se serait jamais rendué!*
HELL: Ceci n'explique pas pourquoi vous avez pris Li-li en otage.
KNACKWURST: Je n'ai rien à faire de cette anguille. Elle a rempli son rôle... celui de vous attirer ici!
HELL: Comment Hayde, vous connaissez cet individu aux allures louches?
HAYDE: Oui, monsieur. Vous n'êtes pas sans ignorer que pendant la Deuxième Guerre Mondiale, j'ai servi avec les forces du Marquis de Greenbellsworthydingle, monsieur.
HELL: Certes. Si je ne m'abuse, votre bataillon a participé à la libération de Villons-les-Buissons.
HAYDE: Vos compatriotes des North Nova Scotia Highlanders ont fait le gros du travail monsieur. Mon bataillon et moi n'étions qu'à la bonne place au bon moment.
HELL: Vous êtes trop humble, Hayde. Mais quel est le rapport avec ce dénommé Frank Von Bratwurst?
KNACKWURST: KNACKWURST!
HAYDE: L'obersturmführer Frank Von Knackwurst commandait les forces allemandes du village. Lors des opérations pour reprendre la ville, lui et moi nous nous sommes fait face en combat singulier, monsieur. Sabres au clair, clairon à la taille.
HELL: Au sabre? Je savais les troupes du Marquis de Greenbellsworthydingle traditionnalistes, mais à ce point?
HAYDE: Le Marquis était un gentleman, monsieur. Ainsi, je faisais face à Frank Von Knackwurst lorsqu'une portion d'une maison près de moi s'est écroulée, entraînant avec elle une jeune famille terrifiée. Je jetai un bref regard, et ce fut assez pour que Frank Von Knackwurst prenne la fuite. J'aurais pu le poursuivre, mais j'ai préféré aider les habitants locaux en détresse. Nous n'avons eu ensuite que des informations sporadiques sur Frank Von Knackwurst provenant toujours de fronts plus orientaux. Certains officiers disaient qu'il allait se retrouver au Japon... ils n'avaient pas tort on dirait.
GIGI: *Je n'aime pas les allemands. Ils ont mauvais goût. Ils ne sont pas sucrés commes les canadiens élevés à l'eau d'érable*
HELL: Gigi! Ces sentiments racistes ne t'honorent pas.
GIGI: *M'en fiche! Il menace ma cousine!*
HELL: Que nous voulez-vous, Knackwurst, et que voulez-vous à ce poisson téléostéen serpentiforme?
KNACKWURST: Je veux me venger!
HELL: Ce sentiment ne vous honore pas plus que ceux de Gigi tantôt!
KNACKWURST: Vous ne me comprenez pas! Personne ne peut me comprendre! Quand le Reich s'est effondré, mon monde a pris fin! J'étais respecté, j'étais craint au village... depuis, je suis devenu un paria! Je suis traqué, je ne suis plus rien! Et tout ça... à cause des japonais!
HELL: Qu'ont-ils à voir là dedans?
KNACKWURST: Ils ont mal livré la guerre! Ils étaient médiocres commes alliés! Ils n'ont pas attaqué la Russie, ils n'ont pas assez attiré de ressources américaines dans le Pacifique pour diminuer la pression sur l'Europe! À cause d'eux, les américains et les britanniques ont débarqué en Normandie, et on connaît la suite de l'histoire. Si nos alliés du Pacifique s'étaient mieux battus, le Reich dominerait le monde! Je me vengerai sur eux, ils vont me le payer!
GIGI: *Dominer le monde! Jamais! St-Thomas Dydime ne se serait jamais rendué!*
HELL: Ceci n'explique pas pourquoi vous avez pris Li-li en otage.
KNACKWURST: Je n'ai rien à faire de cette anguille. Elle a rempli son rôle... celui de vous attirer ici!
30 septembre 2009
Nuke en stock, partie seconde
HELL: Le poison qui rend fou!?
WAGAKUTO: Oui, un terrible poison à base d'une herbe rare, la calltivi, qui rend la victime dans un délire avant de causer la mort d'une manière aussi brutale que stupide.
TOMOYAMA: Man-chu-wok! Man-chu-wok! Man-chu-wok! Man-chu-argh........
HELL: Ça explique donc pourquoi ce malheureux a confondu cette grenade pour un appétissant dim sum.
HAYDE: Nous n'aurons donc plus à nous faire de sushis pour lui, Monsieur.
HELL: Venez-vous de faire une blague Hayde?
HAYDE: Vaguement, Monsieur.
HELL: Elle est de fort mauvais goût Hayde. Un homme est mort et vous vous délecter de peu subtils jeux de mots qui ne vous caractérisent pourtant pas.
WAGAKUTO: Cessez vos tergiversations vaines et stériles. Nous devons trouver qui a empoisonné Tomoyama et pour quelle raison.
HELL: Il parlait d'un complot pendant la... je... argl... Étant donné que les Jeux Olympiques commencent bientôt, je crois que quelque chose se produira durant ceux-ci. Comme l'obtention des JO est un symbole pour montrer que le Japon a su brillamment se sortir de l'explosion des bombes nucléaires américaines, j'imagine que la cérémonie d'ouverture sera impressionnante et suivie par tous autour du globe. Ce serait donc le meilleur moment pour frapper, d'autant plus que celui qui entrera avec la flamme olympique est né le jour même de ce bombardement. Comme il est étudiant, il doit fréquenter l'université de Waseda. Comme nous sommes à l'université de Waseda, il nous suffirait de demander au premier venu, qui comprendra évidemment le français, de nous indiquer où trouver cet étudiant et techniquement, nous devrions tomber sur les malfaiteurs qui voudront attenter à la vie de ce dernier.
WAGAKUTO: Mais c'est limpide! (hélant le premier venu) Hé! Tu sais où se cache Yoshinori Sakaï? Nous devons le trouver!
PREMIER VENU: Non mais j'ai vu plusieurs étrangers cagoulés s'enfuir vers le département de biologie, Wagakuto san.
GIGI: *Li-Li!*
HELL: Gigi a raison, vite, allons voir ce qui se trame au département de biologie.
Pendant leur course effrénée vers le département de biologie, Hell remarqua que, pour un vendredi après-midi en plein milieu d'une université japonaise, il n'y avait dramatiquement personne et au moment où il allait faire la remarque, une porte se barra derrière eux. Devant eux, une horde de ninjas ...
HELL: Fudge! Des ninjas!
HAYDE: Des ninjas, vraiment Monsieur? Monsieur ignore-t-il donc que les ninjas ont disparus depuis le 18e siècle?
HELL: Mettons des pas fins armés de katanas, de shuriken et de Walther Olympia .22 Est-ce que cela vous convient mieux Hayde?
HAYDE: Mais les Walther Olympia .22 sont des armes allemandes conçues pour le tir rapide aux Olympiques de Berlin, Monsieur!
ALLEMAND: Bien observé, Herr Hayde.
HAYDE: Frank Von Knackwurst!
WAGAKUTO: Oui, un terrible poison à base d'une herbe rare, la calltivi, qui rend la victime dans un délire avant de causer la mort d'une manière aussi brutale que stupide.
TOMOYAMA: Man-chu-wok! Man-chu-wok! Man-chu-wok! Man-chu-argh........
HELL: Ça explique donc pourquoi ce malheureux a confondu cette grenade pour un appétissant dim sum.
HAYDE: Nous n'aurons donc plus à nous faire de sushis pour lui, Monsieur.
HELL: Venez-vous de faire une blague Hayde?
HAYDE: Vaguement, Monsieur.
HELL: Elle est de fort mauvais goût Hayde. Un homme est mort et vous vous délecter de peu subtils jeux de mots qui ne vous caractérisent pourtant pas.
WAGAKUTO: Cessez vos tergiversations vaines et stériles. Nous devons trouver qui a empoisonné Tomoyama et pour quelle raison.
HELL: Il parlait d'un complot pendant la... je... argl... Étant donné que les Jeux Olympiques commencent bientôt, je crois que quelque chose se produira durant ceux-ci. Comme l'obtention des JO est un symbole pour montrer que le Japon a su brillamment se sortir de l'explosion des bombes nucléaires américaines, j'imagine que la cérémonie d'ouverture sera impressionnante et suivie par tous autour du globe. Ce serait donc le meilleur moment pour frapper, d'autant plus que celui qui entrera avec la flamme olympique est né le jour même de ce bombardement. Comme il est étudiant, il doit fréquenter l'université de Waseda. Comme nous sommes à l'université de Waseda, il nous suffirait de demander au premier venu, qui comprendra évidemment le français, de nous indiquer où trouver cet étudiant et techniquement, nous devrions tomber sur les malfaiteurs qui voudront attenter à la vie de ce dernier.
WAGAKUTO: Mais c'est limpide! (hélant le premier venu) Hé! Tu sais où se cache Yoshinori Sakaï? Nous devons le trouver!
PREMIER VENU: Non mais j'ai vu plusieurs étrangers cagoulés s'enfuir vers le département de biologie, Wagakuto san.
GIGI: *Li-Li!*
HELL: Gigi a raison, vite, allons voir ce qui se trame au département de biologie.
Pendant leur course effrénée vers le département de biologie, Hell remarqua que, pour un vendredi après-midi en plein milieu d'une université japonaise, il n'y avait dramatiquement personne et au moment où il allait faire la remarque, une porte se barra derrière eux. Devant eux, une horde de ninjas ...
HELL: Fudge! Des ninjas!
HAYDE: Des ninjas, vraiment Monsieur? Monsieur ignore-t-il donc que les ninjas ont disparus depuis le 18e siècle?
HELL: Mettons des pas fins armés de katanas, de shuriken et de Walther Olympia .22 Est-ce que cela vous convient mieux Hayde?
HAYDE: Mais les Walther Olympia .22 sont des armes allemandes conçues pour le tir rapide aux Olympiques de Berlin, Monsieur!
ALLEMAND: Bien observé, Herr Hayde.
HAYDE: Frank Von Knackwurst!
06 septembre 2009
Nukes en stock, première partie
9 octobre 1964, 13h00.
HELL: Et puis Gigi, tu aimes l'Université de Waseda?
GIGI: *Oui, c'est très impressionant d'être dans cette université où plusieurs grand ont mis les pieds. D'ailleurs, il faudrait que je pense à aller saluer ma cousine germaine Li-Li l'anguille qui est au département de biologie*
HELL: L'ampleur de ta famille me fascinera toujours, Gigi. Et vous Hayde, vous appréciez?
HAYDE: Certes, monsieur. C'est une chance que vous soyiez un expert en armes blanches monsieur et que l'équipe canadienne vous ait demandé d'être consultant pour les compétitions d'escrime, monsieur.
HELL: Je sens une légère désapprobation dans votre voix, Hayde.
HAYDE: Vous voyez juste, monsieur. Malgré mon appréciation envers vous et ma terre d'accueil, malgré le fait que le Canada soit un membre émérite du Commonwealth, j'aurai toujours un attachement sentimental envers ma Mère Patrie. Je suis donc déchiré entre le souhait de voir vos efforts pour le Canada récompensés, et le souhait de voir Henry William Furse Hoskyns gagner, monsieur.
HELL: On verra bien. J'aurais bien voulu être athlète moi aussi pour faire la différence, mais notre mission pour sauver les Beatles...
GIGI: *et ce délicieux Ringo*
HELL: ...oui Gigi, y compris Ringo, eh bien cette mission m'a empêché de participer aux qualifications finales.
HAYDE: Vous vous reprendrez aux prochaines Olympiades. Ou aux suivantes. Qui sait, peut-être qu'un jour vous pourrez même vous illustrer devant vos partisans.
HELL: Des Olympiques à Montréal? Voilà une idée intéressante. Hayde, à notre retour, faites-moi penser d'en parler à Jean.
HAYDE: Bien, monsieur. Ah? Je crois que ce promeneur solitaire veut vous parler, monsieur.
HELL: Qui êtes vous?
INCONNU: Mon nom est Wagakuto. Je suis responsable de la sécurité à ce site. Veuillez vous identifier.
HAYDE: Edmund Percival Hayde. Je viens de l'Hertfordshire, je suis citoyen britannique, j'accompagne monsieur Hell ci-présent.
HELL: Jack Hell. Citoyen canadien. J'accompagne la délégation nationale.
WAGAKUTO: Je vois.
GIGI: *Et moi je suis Gigi la Sangsue. Je suis canadienne aussi, je viens du Lac Saint-Jean, même si personne ne me le demande là là!*
HELL: Que nous voulez-vous?
WAGAKUTO: Rien... je veux juste m'assurer que tout est en ordre avant le début des Olympiques. Je n'aime pas les imprévus; je veux que tout soit en ordre et fonctionne parfaitement.
HAYDE: Nobles intentions, monsieur Wagatuko.
HELL: Avez-vous des raisons de croire que les Olympiques seront perturbés?
WAGAKUTO: C'est mon devoir de penser qu'ils le seront. Sinon, comment pourrais-je être prêt?
HELL: Façon pessimiste de voir les choses... mais c'est efficace j'imagine.
WAGAKUTO: Très.
Soudainement, une calvacade de pas précipités se fit entendre!
HELL: Quelle calvacade! Que se passe-t-il?
WAGAKUTO: C'est mon assistant, Tomomaya. Je ne l'ai jamais vu dans cet état
TOMOYAMA: Inspecteur Wagatuko! Inspecteur Wagatuko!
WAGAKUTO: Parle, Tomoyama.
TOMOYAMA: Un complot! Un complot se prépare! Pendant la... je... argl!
WAGAKUTO: Tomoyama!
TOMOYAMA: Je suis une carpe! C'est avec de la nature qu'on fait des confitures! J'ai mon diplôme!
GIGI: *Une carpe? Mon oeil! J'en ai connu une au Lac, elle ne ressemblait pas à ça!*
HELL: Assez Gigi! Inspecteur, que se passe-t-il?
WAGAKUTO: Tomoyama... il... regardez la piqûre dans son cou... il a reçu le... le poison qui rend fou!
HELL: Et puis Gigi, tu aimes l'Université de Waseda?
GIGI: *Oui, c'est très impressionant d'être dans cette université où plusieurs grand ont mis les pieds. D'ailleurs, il faudrait que je pense à aller saluer ma cousine germaine Li-Li l'anguille qui est au département de biologie*
HELL: L'ampleur de ta famille me fascinera toujours, Gigi. Et vous Hayde, vous appréciez?
HAYDE: Certes, monsieur. C'est une chance que vous soyiez un expert en armes blanches monsieur et que l'équipe canadienne vous ait demandé d'être consultant pour les compétitions d'escrime, monsieur.
HELL: Je sens une légère désapprobation dans votre voix, Hayde.
HAYDE: Vous voyez juste, monsieur. Malgré mon appréciation envers vous et ma terre d'accueil, malgré le fait que le Canada soit un membre émérite du Commonwealth, j'aurai toujours un attachement sentimental envers ma Mère Patrie. Je suis donc déchiré entre le souhait de voir vos efforts pour le Canada récompensés, et le souhait de voir Henry William Furse Hoskyns gagner, monsieur.
HELL: On verra bien. J'aurais bien voulu être athlète moi aussi pour faire la différence, mais notre mission pour sauver les Beatles...
GIGI: *et ce délicieux Ringo*
HELL: ...oui Gigi, y compris Ringo, eh bien cette mission m'a empêché de participer aux qualifications finales.
HAYDE: Vous vous reprendrez aux prochaines Olympiades. Ou aux suivantes. Qui sait, peut-être qu'un jour vous pourrez même vous illustrer devant vos partisans.
HELL: Des Olympiques à Montréal? Voilà une idée intéressante. Hayde, à notre retour, faites-moi penser d'en parler à Jean.
HAYDE: Bien, monsieur. Ah? Je crois que ce promeneur solitaire veut vous parler, monsieur.
HELL: Qui êtes vous?
INCONNU: Mon nom est Wagakuto. Je suis responsable de la sécurité à ce site. Veuillez vous identifier.
HAYDE: Edmund Percival Hayde. Je viens de l'Hertfordshire, je suis citoyen britannique, j'accompagne monsieur Hell ci-présent.
HELL: Jack Hell. Citoyen canadien. J'accompagne la délégation nationale.
WAGAKUTO: Je vois.
GIGI: *Et moi je suis Gigi la Sangsue. Je suis canadienne aussi, je viens du Lac Saint-Jean, même si personne ne me le demande là là!*
HELL: Que nous voulez-vous?
WAGAKUTO: Rien... je veux juste m'assurer que tout est en ordre avant le début des Olympiques. Je n'aime pas les imprévus; je veux que tout soit en ordre et fonctionne parfaitement.
HAYDE: Nobles intentions, monsieur Wagatuko.
HELL: Avez-vous des raisons de croire que les Olympiques seront perturbés?
WAGAKUTO: C'est mon devoir de penser qu'ils le seront. Sinon, comment pourrais-je être prêt?
HELL: Façon pessimiste de voir les choses... mais c'est efficace j'imagine.
WAGAKUTO: Très.
Soudainement, une calvacade de pas précipités se fit entendre!
HELL: Quelle calvacade! Que se passe-t-il?
WAGAKUTO: C'est mon assistant, Tomomaya. Je ne l'ai jamais vu dans cet état
TOMOYAMA: Inspecteur Wagatuko! Inspecteur Wagatuko!
WAGAKUTO: Parle, Tomoyama.
TOMOYAMA: Un complot! Un complot se prépare! Pendant la... je... argl!
WAGAKUTO: Tomoyama!
TOMOYAMA: Je suis une carpe! C'est avec de la nature qu'on fait des confitures! J'ai mon diplôme!
GIGI: *Une carpe? Mon oeil! J'en ai connu une au Lac, elle ne ressemblait pas à ça!*
HELL: Assez Gigi! Inspecteur, que se passe-t-il?
WAGAKUTO: Tomoyama... il... regardez la piqûre dans son cou... il a reçu le... le poison qui rend fou!
16 juin 2009
Nuke en stock (ze preview)
9 octobre 1964
Demain ce sera la cérémonie d'ouverture des XVIIIe Jeux Olympiques à Tokyo. Yoshinori Sakaï, un étudiant japonais né comme par hasard le 6 août 1945 (journée de l'explosion d'une bombe nucléaire à Hiroshima... fait très peu connu d'ailleurs), fera son entrée avec la torche Olympique puis 12 000 ballons multicolores seront lâchés et 8 000 pigeons s'envoleront dans le ciel. Pour conclure, trois coups de canons éclateront tandis que les cinq anneaux olympiques seront dessinés dans le ciel par cinq avions des forces aériennes japonaises. Du moins, c'est le plan.
Car quelque part, tapis dans l'ombre, des nostalgiques de la IIe guerre mondiale veulent prendre leur revanche lors de la cérémonie d'ouverture et démontrer la supériorité nippone au monde entier en faisant le même coup que les américains leur ont fait 19 ans plus tôt. Ont-ils dissimulé une bombe nucléaire dans la torche olympique? Les canons tireront-ils des missiles chargés d'uranium? Les avions seront-ils remplis du même combustible que la De Lorean du Dr Emmett Brown? Les ballons contiendront-ils des gazs radioactifs? Les pigeons largueront-ils de phosphorescents projectiles sur la tête des civils? Mary Poppins traversera-t-elle le ciel avec son parapluie?
Une chose est sûre, Jack Hell, Hayde et Gigi n'ont que 24 heures pour défaire ce complot? Comment y parviendront-ils (et surtout, que font-ils à Tokyo alors que tous les hôtels sont pleins?)
Vous le saurez en lisant: Nuke en stock
Demain ce sera la cérémonie d'ouverture des XVIIIe Jeux Olympiques à Tokyo. Yoshinori Sakaï, un étudiant japonais né comme par hasard le 6 août 1945 (journée de l'explosion d'une bombe nucléaire à Hiroshima... fait très peu connu d'ailleurs), fera son entrée avec la torche Olympique puis 12 000 ballons multicolores seront lâchés et 8 000 pigeons s'envoleront dans le ciel. Pour conclure, trois coups de canons éclateront tandis que les cinq anneaux olympiques seront dessinés dans le ciel par cinq avions des forces aériennes japonaises. Du moins, c'est le plan.
Car quelque part, tapis dans l'ombre, des nostalgiques de la IIe guerre mondiale veulent prendre leur revanche lors de la cérémonie d'ouverture et démontrer la supériorité nippone au monde entier en faisant le même coup que les américains leur ont fait 19 ans plus tôt. Ont-ils dissimulé une bombe nucléaire dans la torche olympique? Les canons tireront-ils des missiles chargés d'uranium? Les avions seront-ils remplis du même combustible que la De Lorean du Dr Emmett Brown? Les ballons contiendront-ils des gazs radioactifs? Les pigeons largueront-ils de phosphorescents projectiles sur la tête des civils? Mary Poppins traversera-t-elle le ciel avec son parapluie?
Une chose est sûre, Jack Hell, Hayde et Gigi n'ont que 24 heures pour défaire ce complot? Comment y parviendront-ils (et surtout, que font-ils à Tokyo alors que tous les hôtels sont pleins?)
Vous le saurez en lisant: Nuke en stock
31 mai 2009
Les Étoiles Mystérieuses (chapitre 10)
VOIX INCONNUE: C'était moi! Et je viens récupérer mon argent ou mettre ma menace à exécution.
JOHN: Elle!
GEORGE: Shocking!
PAUL: Toi!
RINGO: Eleanor Rigby! Mon ex-amour!
GIGI: *Comment ça mon amour? Sale garce!*
HELL: Gigi a raison! Expliquez-vous!
RINGO: Elle est mon ex-copine... C'est parce que je la connaissais qu'ils m'ont pris quand Pete Best a été laissé de côté.
GIGI: *Ex-copine? J'ai encore ma chance!*
RINGO: ...mais maintenant j'ai rencontré Maureen et je veux faire ma vie avec elle.
GIGI: *Je la hais elle aussi!*
RIGBY: Oui. Et non seulement les Beatles m'ont laissé tomber, mais toi aussi! Je suis abandonnée de tous!
RINGP: Voyons, let it be, il ne faut pas s'en faire avec ça.
PAUL *let it be, tiens, ça ferait une excellente chanson ça*
RIGBY: Nous allions nous marier! Nous allions avoir des enfants, du succès, une ferme dans le Devonshire, une voiture flambant neuve! Mais tu m'as laissée seule! Tout ceci m'est arraché, maintenant je devrais me contenter d'une vie de vendeuse au rayon des poches de thé chez Harrod's!
GEORGE: Oui mais c'est bon le thé. Un jour, j'irai visiter les Indes pour voir les plantations de thé.
RIGBY: C'est peut-être bon, mais ce n'est pas ça qui va assurer mes vieux jours! Je veux ma part!
PAUL: C'est hors de question. Tu n'étais qu'une remplaçante à quelques reprises. Tu n'es pas une Beatles, tu ne le seras jamais.
RIGBY: C'est ce que tu penses mon beau... mais tu oublies que j'ai un argument de taille avec moi!
JOHN: Et quel est-il?
RIGBY: La pièce dans laquelle nous somme est bardée d'explosifs. Si vous n'acquiescez pas à mes demandes, tout explose, et il n'y aura plus de Beatles.
HAYDE: Diantre.
HELL: Du calme, Hayde, ne perdez pas votre self-control.
HAYDE: Vous avez raison monsieur, mes excuses monsieur.
RIGBY: Et qui sont-ils ces deux-là?
HELL: Je suis Jack Hell, héros invétéré. Et ceci est mon fidèle associé, monsieur Hayde.
RIGBY: Ah je me disais aussi que je vous avais déjà vu au rayon du thé chez Harrod's. Earl Gray si je ne m'abuse.
HAYDE: C'est juste, madame.
RIGBY: C'est ça qui est triste, je suis une excellente vendeuse de thé.
HELL: Je m'en rends bien compte. Mais quel est le lien entre vous et l'organisation de Jacques Émeraude?
RIGBY: C'est moi qui a convaincu Jacques d'enlever le groupe et lui faisant croire qu'ils allaient faire de la concurrence à ses protégés. Il pensait veiller à ses intérêts, mais dans le fond en les conduisant ici, il les a conduit dans mes mains sans que je doive faire quoique ce soit d'autre. Et j'ai ensuite liquidé ce piètre criminel!
HELL: Ah, voilà qui explique le cadavre dans le coin là-bas.
RIGBY: Vous avez tout compris. Et maintenant, messieurs, il est temps de faire un contrat. Je veux ma part sur tous vos disques, spectacles de cirque, produits dérivés et autres films.
PAUL: Jamais! J'aurai besoin de tout cet argent pour aller bien paraître sur une banquise au Canada.
HELL: Le Canada? Je suis originaire de là-bas.
PAUL: Je sais, puisque c'est moi qui vous a demandé de l'aide.
HELL: C'est juste.
HAYDE: Monsieur, puis-je?
HELL: Bien sûr.
RIGBY: Oh non vous ne pouvez pas. Je vous connais Hayde. Et au moindre coup de savate, les explosifs seront détonnés!
HAYDE: Voilà qui est déplorable, madame.
RIGBY: Que voulez-vous, votre réputation vous précèdeAAAAARGH!
GIGI: *voilà qui t'apprendra, vilaine qui ose menacer mon Ringo favori! une bonne mordée de jugulaire, c'est tout ce que tu mérites*
HELL: Gigi, quelle as tu es! Pas une sangsue ne sait arriver aussi subrepticement que ça!
JOHN: Vous avez un excellent vocabulaire monsieur Hell.
HELL: C'est l'oeuvre d'une excellente éducation. Mais je crois que Rigby a son compte.
RINGO: Et que fera-t-on d'elle?
GEORGE: Je connais un prêtre en Angleterre, le père McKenzie... il saura s'occuper d'elle et la remettre dans le droit chemin. Elle ne parlera pas.
JOHN: D'ailleurs toute cette histoire devra demeurer secrète à jamais.
HELL: Nous garderons le silence de notre côté, ne vous en faites pas.
HAYDE: Personne ne croirait ça de toute façon, messieurs.
PAUL: Peut-être qu'un jour j'écrirai une chanson à son sujet, mais en disant que ça a été inspiré par d'autre chose...
RINGO: Ça pourrait être drôle.
JOHN: Mais en attendant en hommage à votre aide, nous allons vous dédier une chanson. Ça va se nommer Help! Évidememnt on ne peut pas la sortir tout de suite, mais d'ici un an ou deux, vous verrez ça... ça va être un grand succès.
HELL: Merci, merci. Et si jamais vous passez en Abitibi, venez faire un tour.
RINGO: Nous n'y manquerons pas. Merci Gigi. Je te dois la vie...
HELL: Bon, on a pas fini d'en entendre parler...
JOHN: Elle!
GEORGE: Shocking!
PAUL: Toi!
RINGO: Eleanor Rigby! Mon ex-amour!
GIGI: *Comment ça mon amour? Sale garce!*
HELL: Gigi a raison! Expliquez-vous!
RINGO: Elle est mon ex-copine... C'est parce que je la connaissais qu'ils m'ont pris quand Pete Best a été laissé de côté.
GIGI: *Ex-copine? J'ai encore ma chance!*
RINGO: ...mais maintenant j'ai rencontré Maureen et je veux faire ma vie avec elle.
GIGI: *Je la hais elle aussi!*
RIGBY: Oui. Et non seulement les Beatles m'ont laissé tomber, mais toi aussi! Je suis abandonnée de tous!
RINGP: Voyons, let it be, il ne faut pas s'en faire avec ça.
PAUL *let it be, tiens, ça ferait une excellente chanson ça*
RIGBY: Nous allions nous marier! Nous allions avoir des enfants, du succès, une ferme dans le Devonshire, une voiture flambant neuve! Mais tu m'as laissée seule! Tout ceci m'est arraché, maintenant je devrais me contenter d'une vie de vendeuse au rayon des poches de thé chez Harrod's!
GEORGE: Oui mais c'est bon le thé. Un jour, j'irai visiter les Indes pour voir les plantations de thé.
RIGBY: C'est peut-être bon, mais ce n'est pas ça qui va assurer mes vieux jours! Je veux ma part!
PAUL: C'est hors de question. Tu n'étais qu'une remplaçante à quelques reprises. Tu n'es pas une Beatles, tu ne le seras jamais.
RIGBY: C'est ce que tu penses mon beau... mais tu oublies que j'ai un argument de taille avec moi!
JOHN: Et quel est-il?
RIGBY: La pièce dans laquelle nous somme est bardée d'explosifs. Si vous n'acquiescez pas à mes demandes, tout explose, et il n'y aura plus de Beatles.
HAYDE: Diantre.
HELL: Du calme, Hayde, ne perdez pas votre self-control.
HAYDE: Vous avez raison monsieur, mes excuses monsieur.
RIGBY: Et qui sont-ils ces deux-là?
HELL: Je suis Jack Hell, héros invétéré. Et ceci est mon fidèle associé, monsieur Hayde.
RIGBY: Ah je me disais aussi que je vous avais déjà vu au rayon du thé chez Harrod's. Earl Gray si je ne m'abuse.
HAYDE: C'est juste, madame.
RIGBY: C'est ça qui est triste, je suis une excellente vendeuse de thé.
HELL: Je m'en rends bien compte. Mais quel est le lien entre vous et l'organisation de Jacques Émeraude?
RIGBY: C'est moi qui a convaincu Jacques d'enlever le groupe et lui faisant croire qu'ils allaient faire de la concurrence à ses protégés. Il pensait veiller à ses intérêts, mais dans le fond en les conduisant ici, il les a conduit dans mes mains sans que je doive faire quoique ce soit d'autre. Et j'ai ensuite liquidé ce piètre criminel!
HELL: Ah, voilà qui explique le cadavre dans le coin là-bas.
RIGBY: Vous avez tout compris. Et maintenant, messieurs, il est temps de faire un contrat. Je veux ma part sur tous vos disques, spectacles de cirque, produits dérivés et autres films.
PAUL: Jamais! J'aurai besoin de tout cet argent pour aller bien paraître sur une banquise au Canada.
HELL: Le Canada? Je suis originaire de là-bas.
PAUL: Je sais, puisque c'est moi qui vous a demandé de l'aide.
HELL: C'est juste.
HAYDE: Monsieur, puis-je?
HELL: Bien sûr.
RIGBY: Oh non vous ne pouvez pas. Je vous connais Hayde. Et au moindre coup de savate, les explosifs seront détonnés!
HAYDE: Voilà qui est déplorable, madame.
RIGBY: Que voulez-vous, votre réputation vous précèdeAAAAARGH!
GIGI: *voilà qui t'apprendra, vilaine qui ose menacer mon Ringo favori! une bonne mordée de jugulaire, c'est tout ce que tu mérites*
HELL: Gigi, quelle as tu es! Pas une sangsue ne sait arriver aussi subrepticement que ça!
JOHN: Vous avez un excellent vocabulaire monsieur Hell.
HELL: C'est l'oeuvre d'une excellente éducation. Mais je crois que Rigby a son compte.
RINGO: Et que fera-t-on d'elle?
GEORGE: Je connais un prêtre en Angleterre, le père McKenzie... il saura s'occuper d'elle et la remettre dans le droit chemin. Elle ne parlera pas.
JOHN: D'ailleurs toute cette histoire devra demeurer secrète à jamais.
HELL: Nous garderons le silence de notre côté, ne vous en faites pas.
HAYDE: Personne ne croirait ça de toute façon, messieurs.
PAUL: Peut-être qu'un jour j'écrirai une chanson à son sujet, mais en disant que ça a été inspiré par d'autre chose...
RINGO: Ça pourrait être drôle.
JOHN: Mais en attendant en hommage à votre aide, nous allons vous dédier une chanson. Ça va se nommer Help! Évidememnt on ne peut pas la sortir tout de suite, mais d'ici un an ou deux, vous verrez ça... ça va être un grand succès.
HELL: Merci, merci. Et si jamais vous passez en Abitibi, venez faire un tour.
RINGO: Nous n'y manquerons pas. Merci Gigi. Je te dois la vie...
HELL: Bon, on a pas fini d'en entendre parler...
18 mai 2009
Les Étoiles Mystérieuses (chapitre 9)
HELL: Bon, enfin on vous retrouve! Êtes-vous sûrs d'être les vrais vrais Beatles cette fois-ci? Pas des copies, clones, statues de cire, jumeaux, réincarnations de Jésus-Christ et j'en passe?
JOHN: Ne nous comparez pas à ce Jésus, nous sommes en voie d'être plus populaire que lui!
GIGI: *Tant d'arrogance et d'élégance, ce ne peut être que le vrai John Lennon! Waaaaaaaa, John! Prends-moi toute entière!!!!!*
JOHN: Je voudrais bien Gigi mais Cynthia, ma femme, ne veut pas.
Sur ce, Gigi, telle une panthère jalouse et hystérique sauta au visage de John dans l'espoir de le griffer... quelques instant plus tard, elle se rendit compte qu'elle était en train de se couvrir de ridicule puisque bien sûr, comme toutes les sangsues, elle n'a pas de griffes.
PAUL: Ah ces groupies, toutes les mêmes...
HELL: Maintenant que nous vous avons trouvé, sortons vite de l'Empire State Building avant que les sbires de Jacques Émeraude ne nous retrouvent. Hayde, permission de savater tout ce qui se met dans notre chemin.
HAYDE: Avec plaisir, Monsieur.
S'en suivi une course folle durant laquelle Hayde assomma moults sbires, vendeurs de hot-dogs, grand-mères épileptiques et autres obstacles qui eurent le culot de se placer en travers de leur chemin. Retournés à l'hôtel des Beatles, ceux-ci purent enfin faire le point avec Hell et Hayde pendant que Gigi continuait de baver et suinter d'envie dans son bocal.
HELL: Chers Beatles, maintenant que nous sommes en sécurité, du moins jusqu'à la fin de ce chapitre, pouvez-vous nous dire pourquoi vous m'avez appelé et pourquoi on cherche à nous assassiner collectivement depuis le début de cette aventure? Est-ce que ça a un lien avec le groupe britannique prometteur que produit Jacques Émeraude?
PAUL: Les Rolling Stones? Faites-nous rire! Ce sont nos amis. Moi et John avons même écrit la face B de leur premier single sorti l'an dernier. Non, c'est vraiment à cause de cette note que nous avons reçu à la sortie du plateau du Ed Sullivan Show. Jacques Émeraude, en bon truand qu'il est, a dû être payé par celui qui se déclare comme étant le 5e Beatles.
HAYDE: Vous croyez, Monsieur? Ne pourrais-ce pas plutôt être une fabulation de Monsieur Émeraude pour vous ébranler?
GEORGES: Malheureusement pas. Il y a vraiment un pan caché de notre existence que nous devons vous révéler.
RINGO: En effet... lors de nos premières tournées à Hambourg, dans le temps où Stu était encore avec les Beatles (et moi pas, paradoxalement), il lui arrivait souvent de jouer le dos tourné au public. On disait que c'était parce qu'il était timide et qu'il jouait mal de la basse mais c'était faux. En fait, il était tellement tout le temps gelé ou en train de baiser qu'on avait une doublure pour lui. Quant Stu a décidé de rester à Hambourg, on a décidé de laisser tomber la doublure puisqu'elle nous était inutile. Mais lorsqu'on lui a annoncé la nouvelle dans son living room, elle a voulu rester, a argumenté pui la dispute a dégénérée et George l'a frappée avec un chandelier, la laissant pour morte.
HELL: Mais qui était cette doublure? Et pourquoi en parlez-vous au féminin?
VOIX INCONNUE: C'était moi! Et je viens récupérer mon argent ou mettre ma menace à exécution.
JOHN: Ne nous comparez pas à ce Jésus, nous sommes en voie d'être plus populaire que lui!
GIGI: *Tant d'arrogance et d'élégance, ce ne peut être que le vrai John Lennon! Waaaaaaaa, John! Prends-moi toute entière!!!!!*
JOHN: Je voudrais bien Gigi mais Cynthia, ma femme, ne veut pas.
Sur ce, Gigi, telle une panthère jalouse et hystérique sauta au visage de John dans l'espoir de le griffer... quelques instant plus tard, elle se rendit compte qu'elle était en train de se couvrir de ridicule puisque bien sûr, comme toutes les sangsues, elle n'a pas de griffes.
PAUL: Ah ces groupies, toutes les mêmes...
HELL: Maintenant que nous vous avons trouvé, sortons vite de l'Empire State Building avant que les sbires de Jacques Émeraude ne nous retrouvent. Hayde, permission de savater tout ce qui se met dans notre chemin.
HAYDE: Avec plaisir, Monsieur.
S'en suivi une course folle durant laquelle Hayde assomma moults sbires, vendeurs de hot-dogs, grand-mères épileptiques et autres obstacles qui eurent le culot de se placer en travers de leur chemin. Retournés à l'hôtel des Beatles, ceux-ci purent enfin faire le point avec Hell et Hayde pendant que Gigi continuait de baver et suinter d'envie dans son bocal.
HELL: Chers Beatles, maintenant que nous sommes en sécurité, du moins jusqu'à la fin de ce chapitre, pouvez-vous nous dire pourquoi vous m'avez appelé et pourquoi on cherche à nous assassiner collectivement depuis le début de cette aventure? Est-ce que ça a un lien avec le groupe britannique prometteur que produit Jacques Émeraude?
PAUL: Les Rolling Stones? Faites-nous rire! Ce sont nos amis. Moi et John avons même écrit la face B de leur premier single sorti l'an dernier. Non, c'est vraiment à cause de cette note que nous avons reçu à la sortie du plateau du Ed Sullivan Show. Jacques Émeraude, en bon truand qu'il est, a dû être payé par celui qui se déclare comme étant le 5e Beatles.
HAYDE: Vous croyez, Monsieur? Ne pourrais-ce pas plutôt être une fabulation de Monsieur Émeraude pour vous ébranler?
GEORGES: Malheureusement pas. Il y a vraiment un pan caché de notre existence que nous devons vous révéler.
RINGO: En effet... lors de nos premières tournées à Hambourg, dans le temps où Stu était encore avec les Beatles (et moi pas, paradoxalement), il lui arrivait souvent de jouer le dos tourné au public. On disait que c'était parce qu'il était timide et qu'il jouait mal de la basse mais c'était faux. En fait, il était tellement tout le temps gelé ou en train de baiser qu'on avait une doublure pour lui. Quant Stu a décidé de rester à Hambourg, on a décidé de laisser tomber la doublure puisqu'elle nous était inutile. Mais lorsqu'on lui a annoncé la nouvelle dans son living room, elle a voulu rester, a argumenté pui la dispute a dégénérée et George l'a frappée avec un chandelier, la laissant pour morte.
HELL: Mais qui était cette doublure? Et pourquoi en parlez-vous au féminin?
VOIX INCONNUE: C'était moi! Et je viens récupérer mon argent ou mettre ma menace à exécution.
15 mars 2009
Les étoiles mystérieuses (chapitre 8)
HAYDE: Pourquoi fallait-il qu'on tombe encore dans une histoire familiale, monsieur
HELL: C'est vrai que la dernière fois, c'était mon frère. Et là c'est le frère d'une autre.
ASSAILLANT MYSTÉRIEUX: Hey, nous sommes là!
HELL: Mais si, mais si... c'est vraiment lassant à la longue de ne pas pouvoir discuter tranquillement d'histoires fraternelles sans avoir affaire à de sordides assassins assoifés de pouvoir et de vengeance et de root beer.
HAYDE: Certes monsieur. Il me semble qu'à chaque épisode je doive sortir mes plus célèbres et percutantes prises de savate ou de pugilat, monsieur.
HELL: Faites, Hayde.
Et encore une fois, Hayde se résolut à mettre hors de combat tous les protagonistes sans être dépeigné. Il va de soi que le fait d'être chauve aide fortement Hayde à ne pas avoir de déplacement capillaire. Et Hayde n'étant pas du genre à discriminer, tous furent mis hors combat. Assaillants ennemis à la solde d'on ne sait qui, et sbires acolytes de Lucy Diamond. À la suite de ce bref mais brutal engagement, il ne restait que Hell, Hayde, Gigi et Diamond qui étaient dans un état de conscience au dessus de celui de la patate douce. Voulant toutefois plus de détails, Hell en frappa un jusqu'à ce qu'il reprenne conscience
HELL: Parlez! Dites-nous qui vous êtes! Dites-nous d'où vous venez
ASSAILLANT: Je suis arrivé d'un vol de Miami Beach, BOAC. Je ne me suis pas couché hier soir... en chemin j'avais le sac en papier sur mes genoux. Man, j'ai eu un vol épouvantable.
HELL: Vous êtes à la solde de Jacques Émeraude, n'est-ce pas?
ASSAILLANT: Si.
HELL: Mais encore?
ASSAILLANT: Je ne sais pas.
HELL: Comment ça?
ASSAILLANT: J'ai été parti si longtemps que je ne reconnais plus la place. Ça fait du bien d'être à la maison. Je vais attendre à demain pour défaire mes valises...
HAYDE: Par son accent monsieur, je crois qu'il est de retour d'URSS.
DIAMOND: C'est fort possible. L'organisation de mon frère a des tentacules partout dans le monde, y compris en Russie.
HELL: Mais pourquoi votre frère en veut-il aux Beatles?
DIAMOND: Bien que je l'ignorais plus tôt, l'apparition de ce sbire accouru de Russie m'illumine telle le phare de North Dumpling, NY. Mon frère finance des tournées d'artistes... et comme les Beatles monopolisent toute l'attention, ses propres artistes n'ont pas de visibilité. En ce moment, il tente de financer un jeune groupe britannique qui promet, d'ailleurs leur premier disque devrait sortir à la mi-avril. Et avec son organisation tentaculaire, il serait bien capable d'aller les faire jouer en URSS... même si ça prenait encore 35 ans pour y arriver!
HELL: Ainsi, il a décidé d'enlever les Beatles pour qu'ils ne soient plus à la radio? Incroyable
GIGI: *En effet, faire ça à ce pauvre Ringo. Vite, allons les sauver*
HELL: Tu as raison Gigi. Mais que faire de vous, miss Diamond? Et de cet assaillant à la solde de votre frère?
HAYDE: Si vous permettez, monsieur.... AAAYAH!, monsieur.
HELL: Bien fait Hayde. Le revoici assomé, avec le niveau de conscience d'un rutabaga.
HAYDE: Patate douce, monsieur.
DIAMOND: J'ose espérer que vous n'allez pas m'assomer à mon tour.
HELL: Jamais nous n'oserions faire ça à une dame. Nous allons plutôt profiter de la présence inattendue de Simon et Garfunkel dans cette histoire pour vous confier à leur garde.
GARFUNKEL: Nous irons au pont de la 59ème avenue, c'est très joli.
SIMON: Comme un pont au-dessus de l'eau troublée.
Vaguement plus tard, nos deux héros et leur vaillante sangsue étaient dans le métro New Yorkais (parce qu'un moment donné le taxi ça coûte cher et Jack Hell n'a pas payé son château en Abitibi en faisant des excès, encore une fois il s'illustre comme exemple pour la jeunesse).
HELL: Nous y voici! L'Empire State Building.
GIGI: *Quel emplacement idéal pour une finale haute en couleurs à cette aventure*
HAYDE: Donc si je ne m'abuse monsieur, Les Beatles sont sous l'Empire State Building.
HELL: Ça nous laisse donc le métro, les sous-sols, les conduits de vapeur.
HAYDE: Au moins il n'y a pas de stationnements, monsieur.
HELL: Par où commencer?
HAYDE: Eh bien, si nous tentions d'abord cette première porte monsieur?
GEORGE, PAUL, RINGO, JOHN: Bonjour
GIGI: *Mon dieu, c'est lui, c'est lui! Mon beau Ringo!*
RINGO: Bonjour Gigi! J'ai reçu tes lettres d'amour, merci, c'est très touchant. Amitiés, Ringo Starr.
HELL: C'est vrai que la dernière fois, c'était mon frère. Et là c'est le frère d'une autre.
ASSAILLANT MYSTÉRIEUX: Hey, nous sommes là!
HELL: Mais si, mais si... c'est vraiment lassant à la longue de ne pas pouvoir discuter tranquillement d'histoires fraternelles sans avoir affaire à de sordides assassins assoifés de pouvoir et de vengeance et de root beer.
HAYDE: Certes monsieur. Il me semble qu'à chaque épisode je doive sortir mes plus célèbres et percutantes prises de savate ou de pugilat, monsieur.
HELL: Faites, Hayde.
Et encore une fois, Hayde se résolut à mettre hors de combat tous les protagonistes sans être dépeigné. Il va de soi que le fait d'être chauve aide fortement Hayde à ne pas avoir de déplacement capillaire. Et Hayde n'étant pas du genre à discriminer, tous furent mis hors combat. Assaillants ennemis à la solde d'on ne sait qui, et sbires acolytes de Lucy Diamond. À la suite de ce bref mais brutal engagement, il ne restait que Hell, Hayde, Gigi et Diamond qui étaient dans un état de conscience au dessus de celui de la patate douce. Voulant toutefois plus de détails, Hell en frappa un jusqu'à ce qu'il reprenne conscience
HELL: Parlez! Dites-nous qui vous êtes! Dites-nous d'où vous venez
ASSAILLANT: Je suis arrivé d'un vol de Miami Beach, BOAC. Je ne me suis pas couché hier soir... en chemin j'avais le sac en papier sur mes genoux. Man, j'ai eu un vol épouvantable.
HELL: Vous êtes à la solde de Jacques Émeraude, n'est-ce pas?
ASSAILLANT: Si.
HELL: Mais encore?
ASSAILLANT: Je ne sais pas.
HELL: Comment ça?
ASSAILLANT: J'ai été parti si longtemps que je ne reconnais plus la place. Ça fait du bien d'être à la maison. Je vais attendre à demain pour défaire mes valises...
HAYDE: Par son accent monsieur, je crois qu'il est de retour d'URSS.
DIAMOND: C'est fort possible. L'organisation de mon frère a des tentacules partout dans le monde, y compris en Russie.
HELL: Mais pourquoi votre frère en veut-il aux Beatles?
DIAMOND: Bien que je l'ignorais plus tôt, l'apparition de ce sbire accouru de Russie m'illumine telle le phare de North Dumpling, NY. Mon frère finance des tournées d'artistes... et comme les Beatles monopolisent toute l'attention, ses propres artistes n'ont pas de visibilité. En ce moment, il tente de financer un jeune groupe britannique qui promet, d'ailleurs leur premier disque devrait sortir à la mi-avril. Et avec son organisation tentaculaire, il serait bien capable d'aller les faire jouer en URSS... même si ça prenait encore 35 ans pour y arriver!
HELL: Ainsi, il a décidé d'enlever les Beatles pour qu'ils ne soient plus à la radio? Incroyable
GIGI: *En effet, faire ça à ce pauvre Ringo. Vite, allons les sauver*
HELL: Tu as raison Gigi. Mais que faire de vous, miss Diamond? Et de cet assaillant à la solde de votre frère?
HAYDE: Si vous permettez, monsieur.... AAAYAH!, monsieur.
HELL: Bien fait Hayde. Le revoici assomé, avec le niveau de conscience d'un rutabaga.
HAYDE: Patate douce, monsieur.
DIAMOND: J'ose espérer que vous n'allez pas m'assomer à mon tour.
HELL: Jamais nous n'oserions faire ça à une dame. Nous allons plutôt profiter de la présence inattendue de Simon et Garfunkel dans cette histoire pour vous confier à leur garde.
GARFUNKEL: Nous irons au pont de la 59ème avenue, c'est très joli.
SIMON: Comme un pont au-dessus de l'eau troublée.
Vaguement plus tard, nos deux héros et leur vaillante sangsue étaient dans le métro New Yorkais (parce qu'un moment donné le taxi ça coûte cher et Jack Hell n'a pas payé son château en Abitibi en faisant des excès, encore une fois il s'illustre comme exemple pour la jeunesse).
HELL: Nous y voici! L'Empire State Building.
GIGI: *Quel emplacement idéal pour une finale haute en couleurs à cette aventure*
HAYDE: Donc si je ne m'abuse monsieur, Les Beatles sont sous l'Empire State Building.
HELL: Ça nous laisse donc le métro, les sous-sols, les conduits de vapeur.
HAYDE: Au moins il n'y a pas de stationnements, monsieur.
HELL: Par où commencer?
HAYDE: Eh bien, si nous tentions d'abord cette première porte monsieur?
GEORGE, PAUL, RINGO, JOHN: Bonjour
GIGI: *Mon dieu, c'est lui, c'est lui! Mon beau Ringo!*
RINGO: Bonjour Gigi! J'ai reçu tes lettres d'amour, merci, c'est très touchant. Amitiés, Ringo Starr.
31 janvier 2009
Les étoiles mystérieuses (chapitre 7)
INDIVIDU APPRÉHENDÉ: Je suis le morse!
INDIVIDU APPRÉHENDÉ: Kou-kou-ka-jou! Je n'avais pas fini ma phrase!
ART GARFUNKEL: Kou-kou-ka-jou, quel son intéressant... on devrait mettre ça dans une de nos chansons, n'est-ce pas mon Paulinou en sucre d'orge?
PAUL SIMON: Arrête de m'appeler de même en public, Artichou de mon coeur... ceci dit, effectivement, on pourrait utiliser ça dans quelque années... peut-être dans cette toune à propos d'une Mrs Flickenstein que Peter arrête pas de nous casser les oreilles avec...
HELL: Non mais ce n'est pas qu'ils sont fatigants mais me semble qu'on a une enquête à faire ici... allez! Dégagez qu'on interroge ce mystérieux individu appréhendé qui nous a mystérieusement sauvé la vie avant qu'on le pourchasse durant tout un chapitre truffé de tounes des Beatles, Beatles qu'on cherche depuis maintenant 6 épisodes!
HAYDE: Bien dit Monsieur! Me permettez-vous de faire une démonstration de la prise du pélican hypocondriaque, cette prise de soumission terrible que j'ai apprise dans un de mes nombreux voyages *4* pour faire parler les individus appréhendés.
INDIVIDU APPRÉHENDÉ: Ce ne sera pas nécessaire, je me présente: Lewis Allen Reed (mais mes amis m'appellent Lou et je vous invite à faire de même), chef d'un mouvement souterrain qui vise à faire de New York une ville sans criminalité, agréable, belle et douce, comme un gant de velours.
HELL: Velours et souterrain, voilà qui est rarement réuni dans la même phrase. Ne seriez-vous pas un peu poète ou du moins vaguement artiste?
LOU: En effet, il m'arrive de gratter la guitare et un jour probablement qu'on reconnaitra mon talent et que j'influencerai la musique un peu comme les Beatles mais pour l'instant, il vous faut retrouver ces derniers. Et je crois savoir qui pourrait vous renseigner... allez dans Central Park et commandez un hot-dog relish-mayonnaise-tabasco et un Dr Pepper aux cerises au 4e comptoir roulant que vous verrez à partir de l'entrée principale. Si le commis vous dit d'aller prendre une marche sur le côté sauvage, passez derrière le comptoir, il y a un passage secret qui vous mènera dans le repaire de la Fée Dragée... elle pourra sans aucun doute vous aider. Bonne chance et oubliez que j'existe.
HELL: Parfait! Merci pour l'information et pour avoir mystérieusement nous avoir sauvé la vie sans nous dire véritablement pourquoi. Hayde, il est temps d'aller nous restaurer dans Central Park!
HAYDE: Un hot-dog ne pourra jamais être considéré comme une source acceptable d'éléments nutritifs essentiels, Monsieur. Vivement une bonne tarte aux rognons et du Yorkshire pudding, Monsieur.
HELL: Hayde, cessez de râler vos habituelles habitudes de vie britanniques et activez-vous, nous avons une Fée Dragée à trouver.
De ce fait, nos héros ainsi que Gigi qui est inhabituellement silencieuse depuis le début de cet épisode, peut-être boude-t-elle parce qu'on la traite de groupie hystérique depuis le début de cette aventure (les sangsues ont beau être attachantes, elle n'en sont pas moins susceptibles), partirent pour Central Park. Ils effectuèrent la commande et pour vous épargner une interminable relecture de la procédure décrite plus haut, tout se passa comme prévu et il entrèrent dans le repaire de la Fée Dragée.
HELL: Maintenant que nous sommes dans le repaire de la Fée Dragée, il faudrait bien la trouver. Gigi, voici une mission pour toi!
GIGI: *Bon, c'est ça! Quand il s'agit d'arrêter des bandits ou de sauver le monde, moi je ne peux pas rien faire! Mais quand il s'agit de menues tâches anodines comme trouver une Fée Dragée au milieu de son repaire secret grand comme ma main, tout de suite: Gigi, va chercher! Je ne suis pas un chien moi!*
HELL: Premièrement Gigi, tu es une sangsue, tu n'as pas de main *5*. Ensuite, est-ce que c'est de notre faute si tu es petite malgré tes super pouvoirs et que si tu n'as pas la capacité d'arrêter de dangereux criminels, tu peux aisément te faufiler incognito dans une variété d'endroits sans être repérée. Alors trouve-nous la Fée Dragée et je te promets que dans le prochain chapitre tu pourras jouer les héroïnes d'une quelconque manière.
GIGI: *D'accord... mais il ne serait pas plus simple de demander à ce brave quidam de nous indiquer où est la Fée Dragée?*
HELL: Riche idée, Gigi! Tu vois que quand tu veux, tu nous es précieuse. Hayde, demandez à ce brave quidam où est la Fée Dragée pendant que je donne un gâterie à notre adorable et indispensable Gigi.
HAYDE: Pardonnez-moi brave quidam, pourriez-vous nous indiquer où est la Fée Dragée, Monsieur?
BRAVE QUIDAM: Elle est juste là. (il pointe une dame de dos qui semble avoir un corps ferme et superbe)
HAYDE: Merci, Monsieur. Allons-y, Monsieur.
HELL: (tapotant sur l'épaule de la Fée Dragée afin qu'elle se retourne) Pardonnez-moi chère dame mais nous recherchons les Beatles et...
FÉE DRAGÉE: (surprise) Qui êtes-vous? Pourquoi recherchez-vous les Beatles?
HELL: Je suis Jack Hell, voici mon fidèle acolyte Mr Hayde et Gigi la sangsue sensuelle. Nous recherchons les Beatles parce qu'ils nous ont engagés afin de démystifier un complot contre eux et un certain Lou Reed nous a dit que vous pourriez nous venir en aide. Maintenant, vous, qui êtes-vous (car Fée Dragée est sûrement un nom d'emprunt).
FÉE DRAGÉE: Je suis en fait Lucy Diamond. Jacques Émeraude, mon frère et rival a capturé les Beatles mais je ne sais pas pourquoi. Par contre, je sais qu'ils les retient prisonniers quelque part sous l'Empire State Building. Or qu'est-ce qui me dit que je peux vous faire confiance? Emparez-vous d'eux!
SBIRE QUELCONQUE: Je voudrais bien mais il semble que nous soyons présentement victimes d'une attaque dans contre repaire secret et... arghhhhhhhhh
__________________
*4* voir Sidekicks series volume 13: Hayde vs Cato
*5* voir n'importe quel livre de biologie animale... même le dictionnaire suffirait
INDIVIDU APPRÉHENDÉ: Kou-kou-ka-jou! Je n'avais pas fini ma phrase!
ART GARFUNKEL: Kou-kou-ka-jou, quel son intéressant... on devrait mettre ça dans une de nos chansons, n'est-ce pas mon Paulinou en sucre d'orge?
PAUL SIMON: Arrête de m'appeler de même en public, Artichou de mon coeur... ceci dit, effectivement, on pourrait utiliser ça dans quelque années... peut-être dans cette toune à propos d'une Mrs Flickenstein que Peter arrête pas de nous casser les oreilles avec...
HELL: Non mais ce n'est pas qu'ils sont fatigants mais me semble qu'on a une enquête à faire ici... allez! Dégagez qu'on interroge ce mystérieux individu appréhendé qui nous a mystérieusement sauvé la vie avant qu'on le pourchasse durant tout un chapitre truffé de tounes des Beatles, Beatles qu'on cherche depuis maintenant 6 épisodes!
HAYDE: Bien dit Monsieur! Me permettez-vous de faire une démonstration de la prise du pélican hypocondriaque, cette prise de soumission terrible que j'ai apprise dans un de mes nombreux voyages *4* pour faire parler les individus appréhendés.
INDIVIDU APPRÉHENDÉ: Ce ne sera pas nécessaire, je me présente: Lewis Allen Reed (mais mes amis m'appellent Lou et je vous invite à faire de même), chef d'un mouvement souterrain qui vise à faire de New York une ville sans criminalité, agréable, belle et douce, comme un gant de velours.
HELL: Velours et souterrain, voilà qui est rarement réuni dans la même phrase. Ne seriez-vous pas un peu poète ou du moins vaguement artiste?
LOU: En effet, il m'arrive de gratter la guitare et un jour probablement qu'on reconnaitra mon talent et que j'influencerai la musique un peu comme les Beatles mais pour l'instant, il vous faut retrouver ces derniers. Et je crois savoir qui pourrait vous renseigner... allez dans Central Park et commandez un hot-dog relish-mayonnaise-tabasco et un Dr Pepper aux cerises au 4e comptoir roulant que vous verrez à partir de l'entrée principale. Si le commis vous dit d'aller prendre une marche sur le côté sauvage, passez derrière le comptoir, il y a un passage secret qui vous mènera dans le repaire de la Fée Dragée... elle pourra sans aucun doute vous aider. Bonne chance et oubliez que j'existe.
HELL: Parfait! Merci pour l'information et pour avoir mystérieusement nous avoir sauvé la vie sans nous dire véritablement pourquoi. Hayde, il est temps d'aller nous restaurer dans Central Park!
HAYDE: Un hot-dog ne pourra jamais être considéré comme une source acceptable d'éléments nutritifs essentiels, Monsieur. Vivement une bonne tarte aux rognons et du Yorkshire pudding, Monsieur.
HELL: Hayde, cessez de râler vos habituelles habitudes de vie britanniques et activez-vous, nous avons une Fée Dragée à trouver.
De ce fait, nos héros ainsi que Gigi qui est inhabituellement silencieuse depuis le début de cet épisode, peut-être boude-t-elle parce qu'on la traite de groupie hystérique depuis le début de cette aventure (les sangsues ont beau être attachantes, elle n'en sont pas moins susceptibles), partirent pour Central Park. Ils effectuèrent la commande et pour vous épargner une interminable relecture de la procédure décrite plus haut, tout se passa comme prévu et il entrèrent dans le repaire de la Fée Dragée.
HELL: Maintenant que nous sommes dans le repaire de la Fée Dragée, il faudrait bien la trouver. Gigi, voici une mission pour toi!
GIGI: *Bon, c'est ça! Quand il s'agit d'arrêter des bandits ou de sauver le monde, moi je ne peux pas rien faire! Mais quand il s'agit de menues tâches anodines comme trouver une Fée Dragée au milieu de son repaire secret grand comme ma main, tout de suite: Gigi, va chercher! Je ne suis pas un chien moi!*
HELL: Premièrement Gigi, tu es une sangsue, tu n'as pas de main *5*. Ensuite, est-ce que c'est de notre faute si tu es petite malgré tes super pouvoirs et que si tu n'as pas la capacité d'arrêter de dangereux criminels, tu peux aisément te faufiler incognito dans une variété d'endroits sans être repérée. Alors trouve-nous la Fée Dragée et je te promets que dans le prochain chapitre tu pourras jouer les héroïnes d'une quelconque manière.
GIGI: *D'accord... mais il ne serait pas plus simple de demander à ce brave quidam de nous indiquer où est la Fée Dragée?*
HELL: Riche idée, Gigi! Tu vois que quand tu veux, tu nous es précieuse. Hayde, demandez à ce brave quidam où est la Fée Dragée pendant que je donne un gâterie à notre adorable et indispensable Gigi.
HAYDE: Pardonnez-moi brave quidam, pourriez-vous nous indiquer où est la Fée Dragée, Monsieur?
BRAVE QUIDAM: Elle est juste là. (il pointe une dame de dos qui semble avoir un corps ferme et superbe)
HAYDE: Merci, Monsieur. Allons-y, Monsieur.
HELL: (tapotant sur l'épaule de la Fée Dragée afin qu'elle se retourne) Pardonnez-moi chère dame mais nous recherchons les Beatles et...
FÉE DRAGÉE: (surprise) Qui êtes-vous? Pourquoi recherchez-vous les Beatles?
HELL: Je suis Jack Hell, voici mon fidèle acolyte Mr Hayde et Gigi la sangsue sensuelle. Nous recherchons les Beatles parce qu'ils nous ont engagés afin de démystifier un complot contre eux et un certain Lou Reed nous a dit que vous pourriez nous venir en aide. Maintenant, vous, qui êtes-vous (car Fée Dragée est sûrement un nom d'emprunt).
FÉE DRAGÉE: Je suis en fait Lucy Diamond. Jacques Émeraude, mon frère et rival a capturé les Beatles mais je ne sais pas pourquoi. Par contre, je sais qu'ils les retient prisonniers quelque part sous l'Empire State Building. Or qu'est-ce qui me dit que je peux vous faire confiance? Emparez-vous d'eux!
SBIRE QUELCONQUE: Je voudrais bien mais il semble que nous soyons présentement victimes d'une attaque dans contre repaire secret et... arghhhhhhhhh
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*4* voir Sidekicks series volume 13: Hayde vs Cato
*5* voir n'importe quel livre de biologie animale... même le dictionnaire suffirait
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